Finalement, dès que le niveau d'eau monte dans le fond de la cuve de débordement, la pression de cette eau accumulée accélère le débit d'évacuation. Le diamètre de 20 mm se montre tout juste capable d'évacuer les 2050 litres/heure théoriques. Mais, par prudence, je vais agrandir le trou ! |
Le niveau de l'eau évolue très légèrement de quelques cm dans la cuve en fonction des performances de la pompe. Nous constatons que le débit n'est pas régulier. A noter que, à part la chute de l'eau des tubes vers la cuve, aucun bruit parasite de succion, comme en connaissent tous ceux qui font des bacs percés, n'est audible. Une fois, les bioballes et les plaques de plastique installées, la chute sera silencieuse. |
Jamais pendant les quelques heures de test, le niveau dans la cuve de débordement ne dépasse la première moitié de la hauteur (environ 30 à 35 cm). Il reste donc une trentaine de cm comme marge de sécurité. Comme le débit de la chute d'eau est amélioré au fur et à mesure que la quantité, en fait la hauteur, d'eau dans la cuve augmente, il parait peu probable qu'elle finisse par se remplir. |
La décision est prise, le trou va être agrandi. Voilà une information bien pratique pour tous ceux qui doivent percer des bacs. Un énorme trou (diamètre 40) comme on le voit souvent est surdimensionné. Il oblige, comme je le faisais avant (diamètre 32), à freiner la descente pour remplir d'eau le tube. Si ce n'est pas fait, la chute d'eau est bruyante et l'air aspiré fait un bruit non négligeable. Par contre, un trou de diamètre 20 mm, ou plutôt le diamètre effectif interne du passe cloison est trop faible pour un débit de 2000 l/h. Un diamètre de 25 mm correspond très bien. C'est ce que j'avais en tête. |
Une arrivée pareille ça se fête, surtout quand c'est à quelques jours de Noël. Pour une fois, le CO2 ne sortira pas de la grande bouteille en acier. |
Il est terminé, pas mal non ? Oups, je me suis trompé de photo, c'est l'aquarium de mon garçon qui est juste à coté. |